Ça
n'est pas parce qu'on fait
du vélo en ville qu'on ne doit
pas en faire à la campagne, bien au contraire... En ville,
le vélo est un moyen de transport rapide,
économique,
écologique et bon pour la santé; à la
campagne, c'est presque la même chose, la rapidité
en moins mais le plaisir
de pouvoir emprunter des chemins loin de toute circulation
en prenant le temps d'admirer de beaux paysages en plus...
Ça n'est plus vraiment le vélo utile, mais
plutôt le vélo agréable.
Et donc,
beaucoup d'entre vous prennent sûrement leur vélo
pour d'agréables randonnées dans nos belles
campagnes...
Si vous voulez faire profiter les autres de ces
exprériences, cette rubrique vous est
réservée...
On commence par une petite virée avec bivouac au bord de
cascades du côté de Saint-Maximin,
décidée à la suite d'une balade de
Vélo utile par des participants voulant aller un peu plus
loin... 4 et 5 août 2012 : un bivouac qui claque.
En attendant vos contributions que
j'espère nombreuses, je donne l'exemple en racontant
mon voyage d'Arles à Toulouse (en
réalité Castelnaudary, j'exagère un
peu mais j'ai l'excuse d'être marseillais !), en
suivant en
grande partie le chemin de halage du canal du Midi. Robert Alessandri
: d'Arles à Toulouse : Camargue et canal du Midi.
Et tant que j'y suis, je signale sur mon site personnel
consacré aux ovnis un voyage à vélo en
Angleterre en 2003, pour aller explorer le mystère des
«agroglyphes» (d'immenses figures apparaissant la
nuit dans des champs de blés, essentiellement en Angleterre,
que certains attribuent à des extraterrestres, d'autres
à une sorte d'âme de la Terre, et d'autres
à des plaisantins) : À
bicycle au pays des crop circles.
Un
de nos sympathisants
particulièrement mobile, Laurent Tezier, a l'habitude depuis
quelques années d'organiser pour ses vacances
d'été une grande randonnée en
famille... En 2005, il a ainsi suivi en compagnie de femme, enfants,
cousins et cousines, neuf personnes au total, les bords du Rhin, depuis
sa source jusqu'aux chutes de Schaffhausen. Son récit de
cette randonnée de 350 km, accompagnée
de nombreuses photographies, donne vraiment envie de le suivre.
Et ceux qui voudraient vraiment le faire trouveront
à la fin un «carnet pratique»
détaillant les bons et les mauvais plans pour chaque halte... Laurent
Tezier : les Bords du
Rhin à vélo.
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